Déclaration à l’occasion du Jour des Franco-Ontariens et des Franco-Ontariennes

La présidente de la Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA) du Canada, Liane Roy, a émis la déclaration suivante pour souligner le Jour des Franco-Ontariens et des Franco-Ontariennes, célébré ce dimanche 25 septembre :

« Notre francophonie est bâtie sur la force du rassemblement. Et cette année, au sortir de la pandémie, les francophones de l’Ontario se rassemblent à nouveau aux quatre coins de la province. De Toronto à North Bay à Orléans, des milliers d’élèves s’afficheront à nouveau en vert et blanc, ces couleurs qui flotteront aussi dans le ciel ontarien et qui illumineront la Tour du CN.

Ces rassemblements ne sont pas que des occasions de célébration : ils sont l’expression de la volonté d’affirmation de quelque 700 000 Ontariens et Ontariennes d’expression française. Ils sont la manifestation vivante des grandes devises franco-ontariennes : « Nous sommes, nous serons » et « L’avenir est à ceux qui luttent ».

Je tiens aussi à saluer la mémoire de deux grandes personnalités franco-ontariennes qui nous ont quitté au cours des derniers mois : Gisèle Lalonde et Mariette Carrier-Fraser, décédée la semaine dernière. Puisse le souvenir de ce qu’elles ont fait et, surtout, de ce qu’elles ont été, toujours inspirer l’engagement individuel et collectif des francophones.

À tous les francophones de l’Ontario, je souhaite d’excellentes célébrations du 25 septembre ».

Déclaration à la suite du décès de la reine Elizabeth II

La présidente de la Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA) du Canada, Liane Roy, a émis la déclaration suivante à la suite du décès de la reine Élisabeth II plus tôt aujourd’hui :

« La reine Élisabeth II était chef d’État du Canada, une chef d’État qui parlait d’ailleurs couramment le français – certainement un exemple à suivre en matière de dualité linguistique. C’est aussi elle qui a ratifié la Charte canadienne des droits et libertés, qui a consacré et enchâssé le statut du français et les droits constitutionnels à l’éducation dans la langue de la minorité.

Je suis consciente qu’il existe, dans la francophonie comme dans la société canadienne, des différences de vues et de sentiments quant à l’institution monarchique et ce qu’elle représente.

Il reste qu’aujourd’hui, on rend hommage à une personne qui s’est dédiée à sa charge avec un immense sens du devoir pendant 70 ans. C’est un moment profondément historique que la fin de ce règne aux débuts duquel la grande majorité d’entre nous n’étions pas nés. C’est la fin d’une époque ».

Déclaration sur la nomination de la juge Michelle O’Bonsawin pour la Cour suprême

Le vice-président de la Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA) du Canada, Yves-Gérard Méhou-Loko, a émis la déclaration suivante concernant l’annonce de la nomination de la juge Michelle O’Bonsawin à la Cour suprême :

« Le Premier ministre Trudeau pose aujourd’hui un geste historique en proposant la nomination de Michelle O’Bonsawin à la Cour suprême. Abénakise, membre de la première nation d’Odanak, la juge O’Bonsawin deviendra, si sa nomination est confirmée, la première autochtone à siéger au plus haut tribunal du pays.

Franco-Ontarienne et parfaitement bilingue, la juge O’Bonsawin incarne la complémentarité qui peut exister entre la représentation des peuples autochtones et la dualité linguistique dans les instances politiques et juridiques du Canada.

C’est la nomination qu’il fallait faire, au moment où il fallait la faire. Nous espérons que le Comité permanent de la justice et des droits de la personne de la Chambre des communes approuvera cette nomination ».

Déclaration à l’occasion de la Fête nationale de l’Acadie

La présidente de la Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA) du Canada, Liane Roy, a émis la déclaration suivante pour souligner la Fête nationale de l’Acadie :

« Depuis ses origines, l’Acadie tire sa force et sa résilience des individus qui la peuplent et qui la portent, peu importe leurs origines. Cette tradition se poursuit aujourd’hui : l’Acadie est terre d’accueil et d’inclusion, elle est plurielle, elle est ouverte.

Les défis de l’Acadie, comme ceux de l’ensemble de la francophonie, sont bien sûr nombreux. Mais en ce 15 août, nous célébrons le pouvoir et la ténacité de cet esprit acadien qui transcende les lignes géographiques. L’Acadie, aujourd’hui, vit parce qu’elle habite le cœur de tous ceux et toutes celles qui s’en réclament et qui l’affirment avec fierté.

À tous les Acadiens et à toutes les Acadiennes de naissance et de choix, je souhaite un excellent 15 août ».

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